Nous avons quitté Palenque hier soir après quelques heures d'attentes sur le Zocalo de cette ville vraiment inintéressante. 
Et oui nous étions dans le bus le 31!! Mais pour quelle destination!! Tulum et les plages des Caraïbes. Encore une fois nous débarquons un peu trop tôt pour les horaires mexicains et encore une fois les taxis pratiquent des prix de folie. Tulum est connue pour son site archéologique mais aussi pour ses cabanes sur la plage et ce sont ces dernières que nous cherchons pour le moment. 
Nous cherchons désespérement quelqu'un à la réception mais tout le monde semble dormir alors on se pose sur la plage et ON PROFITE. Bah oui, soyons honnêtes c'est le 1er janvier et nous sommes au soleil sur une plage des caraïbes, on a déja vu pire, non? Après une petite attente, nous sommes maintenant en possession des clefs de la cabane obtenues auprès du gérant vraiment plus que désagréable.
On en fait tout un foin de ces cabanes mais c'est plutôt sommaire : un lit, une table, deux chaises et une bougie. Mais on a tout ce qu'il faut dans notre sac : Foie gras, ouvre boite, pain et bouteille d'eau gazeuse. Un vrai festin pour le nouvel an. Bon la réalité fut plutôt : foie gras à la graisse fondue, pain mou et eau chaude, mais l'esprit était là. Après ce bon petit repas nous partons à la rencontre de l'histoire.
Le site en lui même n'a pas grand intérêt par rapport à ce que l'on a pu voir jusqu'ici, pas de pyramide immense et peu de batiments bien conservés. 
C'est sa localisation qui fait tout le prestige de Tulum, la cité fortifiée (les murs des remparts sont toujours là) surplombe la mer et c'est probablement ici que l'on vît apparaitre au loin les espagnols. A par la vue et les temples nous avons également pu observer les nombreux iguanes se lézardant au soleil (c'est le cas de le dire).
Après cette petite leçon d'histoire, nous avons lézardé sur la plage et Arthur est parti à la recherche d'une noix de coco. 
Je vous rassure on n'était pas fauchés à ce point là. Arthur voulait juste préparer SA noix de coco. Et il l'a fait, la trouver ne fut pas si dur, le problème fut de l'ouvrir. La noix fut jetée à de nombreuses reprises sur une pierre pour finalement se fendre et libérer son lait...chaud. Rassurez-vous, la chair du fruit donnera plus de satisfaction à notre Robinson en herbe.
Comme je disais ces cabanes sont plutôt sommaires, les murs sont en rondins de bois et le toit en palmes de palmiers. Mais surtout il n'y a pas de moustiquaire. La nuit fut horrible, en cause : la chaleur et l'armée de moustiques. Mais le lendemain fut pire, après avoir été piquée toute la nuit je ressemble maintenant à une ado prépubère en pleine crise d'acné et en plus ça GRATTE. Bref l'horreur. Imaginez vous ensuite avec un masque de plongée sur la figure qui appui sur tous les boutons, vraiment désagréable. 
C'est qu'ils n'ont rien épargné; visage, jambes, bras, ventre, partout. Alors pour la deuxième nuit je me suis équipée : pantalon, chaussettes par dessus le pantalon, polo fermé jusqu'au dernier bouton, chausettes sur les mains et jupe sur la tête. OK j'ai crevé de chaud mais au moins je me suis épargnée des piqures supplémentaires. Arthur de son coté n'a pas fermé les yeux des 2 nuits, la lutte fut féroce et acharnée. Au compteur 2-0 sans appel pour les moustiques en dépit de leur héradication claquesques.
Et oui nous étions dans le bus le 31!! Mais pour quelle destination!! Tulum et les plages des Caraïbes. Encore une fois nous débarquons un peu trop tôt pour les horaires mexicains et encore une fois les taxis pratiquent des prix de folie. Tulum est connue pour son site archéologique mais aussi pour ses cabanes sur la plage et ce sont ces dernières que nous cherchons pour le moment. 
Nous cherchons désespérement quelqu'un à la réception mais tout le monde semble dormir alors on se pose sur la plage et ON PROFITE. Bah oui, soyons honnêtes c'est le 1er janvier et nous sommes au soleil sur une plage des caraïbes, on a déja vu pire, non? Après une petite attente, nous sommes maintenant en possession des clefs de la cabane obtenues auprès du gérant vraiment plus que désagréable.
On en fait tout un foin de ces cabanes mais c'est plutôt sommaire : un lit, une table, deux chaises et une bougie. Mais on a tout ce qu'il faut dans notre sac : Foie gras, ouvre boite, pain et bouteille d'eau gazeuse. Un vrai festin pour le nouvel an. Bon la réalité fut plutôt : foie gras à la graisse fondue, pain mou et eau chaude, mais l'esprit était là. Après ce bon petit repas nous partons à la rencontre de l'histoire."Cité fortifiée"
Le site en lui même n'a pas grand intérêt par rapport à ce que l'on a pu voir jusqu'ici, pas de pyramide immense et peu de batiments bien conservés. 
C'est sa localisation qui fait tout le prestige de Tulum, la cité fortifiée (les murs des remparts sont toujours là) surplombe la mer et c'est probablement ici que l'on vît apparaitre au loin les espagnols. A par la vue et les temples nous avons également pu observer les nombreux iguanes se lézardant au soleil (c'est le cas de le dire).
Après cette petite leçon d'histoire, nous avons lézardé sur la plage et Arthur est parti à la recherche d'une noix de coco. 
Je vous rassure on n'était pas fauchés à ce point là. Arthur voulait juste préparer SA noix de coco. Et il l'a fait, la trouver ne fut pas si dur, le problème fut de l'ouvrir. La noix fut jetée à de nombreuses reprises sur une pierre pour finalement se fendre et libérer son lait...chaud. Rassurez-vous, la chair du fruit donnera plus de satisfaction à notre Robinson en herbe.
Comme je disais ces cabanes sont plutôt sommaires, les murs sont en rondins de bois et le toit en palmes de palmiers. Mais surtout il n'y a pas de moustiquaire. La nuit fut horrible, en cause : la chaleur et l'armée de moustiques. Mais le lendemain fut pire, après avoir été piquée toute la nuit je ressemble maintenant à une ado prépubère en pleine crise d'acné et en plus ça GRATTE. Bref l'horreur. Imaginez vous ensuite avec un masque de plongée sur la figure qui appui sur tous les boutons, vraiment désagréable. 
C'est qu'ils n'ont rien épargné; visage, jambes, bras, ventre, partout. Alors pour la deuxième nuit je me suis équipée : pantalon, chaussettes par dessus le pantalon, polo fermé jusqu'au dernier bouton, chausettes sur les mains et jupe sur la tête. OK j'ai crevé de chaud mais au moins je me suis épargnée des piqures supplémentaires. Arthur de son coté n'a pas fermé les yeux des 2 nuits, la lutte fut féroce et acharnée. Au compteur 2-0 sans appel pour les moustiques en dépit de leur héradication claquesques.
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